Fort de sa technologie, la station propose une antenne qui permet une communication quasi-incessante avec le continent. La salle de communication permet de préserver un constant lien avec le reste du monde, mais propose également d’observer ce qui se passe aux alentours. Toujours regarder pour s’assurer que tout aille bien, c’est un credo qu’ont parfaitement compris toutes les communautés de l’île.

Certains des membres de la communauté dzeta pourraient être considérés comme de véritables chercheurs et, à ce titre, méritent un endroit pour mener leurs expériences à bien. Doté d’une technologie impressionnante pour l’endroit, ils peuvent s’exercer au mieux afin de protéger leur communauté du moindre mal. lieu incontournable en cas de blessure ou maladie quelconque, les étagères pleines de médicaments en tout genre font rêver des rescapés qui ne se sont pas soignés depuis des années. Mais attention, le partage n’est pas une qualité universelle.

Les originaires renferment des tas de secrets, et ce lieu en est la preuve physique. On y trouve des tas de papiers en tout genre, concernant une multitude de sujets différents, mais pas seulement. En fait, c’est un peu une caverne d’ali baba, où on peut trouver un peu tout et n’importe quoi. Mais si vous avez l’intention d’y entrer comme ça sans la moindre permission, vous pouvez vous mettre le doigt dans l’œil, car cette pièce est secrète.

Digne d’un véritable film d’horreur, la salle de torture ferait peur à Leatherface lui-même tant elle est glauque et effrayante. Comme son nom l’indique, il ne s’y passe pas de choses vraiment joyeuses, et les ustensiles accrochés au semblant de mur ne peuvent que le confirmer. Situé à l'étage le plus bas du bunker, la salle de torture n’est pas là pour vous faire rire trop longtemps ; et avis aux rescapés prisonniers qui auraient le malheur de se retrouver ici un jour, ce n’est peut-être pas si simple de revoir la lumière du jour.

Le confort de la ville ne se trouve définitivement pas dans les dortoirs du bunker. Longs mais singulièrement peu larges, les dortoirs ont été le lieu de vie des premiers originaires, quand il était plus prudent de rester hors de l'atteinte de l'île. Aujourd'hui ils ont été réaménagés pour offrir de nombreuses cases individuelles ou collectives, mais qui dégagent encore pour certains quelque chose de froid. Notamment à cause des lits simples ou superposés, seulement munis de matelas ; tout y est métallique, sans décor et sans fenêtre. Peu éclairés, ils ne donnent pas spécialement envie de s’y endormir, mais c’est toujours mieux que rien. Et avec l'habitude, on s'y sent bien.